Ci-après les deux formations rentrante des l’Espérance de Tunis et l’Etoile du Sahel au clasico comptant pour la quatrième journée du groupe A en Ligue 1 :
EST : Sedki Debchi, Mohamed Ben Ali, Heni Amamou, Yassine Meriah, Mohamed Amine Ben Hamida, Fousseny Coulibaly, Mohamed Ali Ben Romdhane, Sabir Bougrine, Hamdou Houni, Anice Badri, Riyad Benayad.
ESS : Aymen Mathlouthi, Zied Boughattas, Ghofrane Nawali, Baligh Jammali, Fraj Ben Njima, Jacques Mbé, Fraj Kayramani, Louay Ben Hassine, Yassine Chikhaoui, Raki Aouani, Vinny Bongonga.
Selon le dernier rapport du ministère des Finances sur les établissements publics, l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports enregistrerait un résultat net négatif de 157 millions de dinars à fin 2021, en hausse de 88,9 millions de dinars, soit 36,2% par rapport à 2020.
L’endettement de l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports envers l’Etat (Impôts et Taxes) en 2021 augmenterait de 40 millions de dinars, soit de 11,2% par rapport à 2020, pour atteindre 396 millions de dinars, tandis que l’endettement envers les banques s’accroîtrait en 2021 de 104,8 millions de dinars, pour atteindre 105 millions de dinars, en raison du recours de l’Office aux banques pour financer l’activité d’exploitation face à la rareté de liquidité.
D’autre part, le rapport du ministère des Finances estime le nombre d’agents a 3730 en 2021. Le ministère estime également la masse salariale à 204,4 millions de dinars, compte tenu de l’augmentation de 4,4 millions de dinars due aux avancements et aux promotions professionnelles, par rapport à 2020, outre l’effet de l’augmentation de 40% d’une prime dite « Prime de bilan ».
Une prime qui vient gonfler la masse salariale de l’office faisant de ses salariés parmi les mieux payés du secteur avec un salaire mensuel moyen brut par agent estimé à 4567 dinars !
Il est à noter que les agents et techniciens de la navigation aérienne de l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports à l’aéroport Tunis-Carthage ont fait une grève le 9 septembre 2022, en raison de la non-exécution des revendications qu’ils avaient soumises à l’autorité de tutelle, dont la plus importante est relative aux nouveaux recrutements urgents pour les postes vacants, la mise en place d’une loi-cadre pour les agents et des programmes de formation pour préserver leurs compétences et la mise à leur disposition de logements administratifs.
Des observateurs confirment que le résultat net négatif de 157 millions de dinars à fin 2021 et l’augmentation de la masse salariale, contribuent à la détérioration de l’infrastructure des aéroports tunisiens en absorbant les fonds alloués normalement à l’équipement et à l’investissement.
Le bureau du FMI a mis à jour, la semaine écoulée, son ordre du jour concernant es réunions du mois de janvier en cours. Si les dossiers du Maroc ou de l’Ouganda, par exemple, ont été insérés dans les ordres du jour de ces réunions, il n’y a, toujours, aucune trace du dossier tunisien.
A rappeler que le gouverneur de la BCT a annoncé, dans une conférence de presse, la semaine passée, que le Fmi attendait, pour remettre à l’ordre du jour le dossier tunisien, la publication de la loi de finances de 2023, ainsi que la publication du décret-loi concernant la gouvernance des entreprises publiques.
Abassi a précisé que la loi de finance ayant été publiée, il reste le décret-loi de la gouvernance des entreprises publiques qui ne devrait plus tarder à être annoncé. Ce qui aplanirait tous les derniers obstacles à l’étude du dossier tunisien par le FMI.
Tunindex a terminé la séance d’aujourd’hui mardi 10 janvier 2023 en régressant légèrement de 0,01% à 8105,90 points tandis que Tunindex 20 a baissé de 0,08% pour se situer à 3597,39 points.
Le flux des échanges est de 4,6 millions de dinars (MD) et ce, en l’absence de transactions en bloc. Avec 56 valeurs actives, la Bourse de Tunis a été marquée en outre par un léger déséquilibre des échanges avec 31 actions en baisse contre 15 titres en hausse et 34 valeurs inchangées.
Comportement des valeurs
Côté échanges, BIAT a été, à l’instar de la veille, le titre le plus transigé de la séance, avec un courant d’affaires de 880 mille dinars ce qui représente 19% du volume global des échanges talonné par la ATTIJARI BANK pour 658 mille dinars. Le titre ICF a drainé, par ailleurs, un volume d’affaires de 433 mille dinars tout en s’appréciant de 4,00% à 98,70 D alors que SFBT a mobilisé 222 mille dinars en baissant de 0,78% à 12,68 D.
Concernant les variations à la hausse, BH LEASING a évolué de 5,56% à 2,09 D sans drainer de volume d’échanges suivie par la valeur TGH qui a avancé de 5,00% à 0,63 D et TUNINVEST SIC qui a progressé de 4,46% à 8,67 D. Le titre ICF a augmenté de 4,00% à 98,70 D.
A l’opposé, le titre SCB s’est déprécié de 4,14% à 1,39 D. L’action SOKNA a continué à lâcher aussi du lest pour 3,54% à 1,91 D alors qu’ALKIMIA a baissé à 34,00 D essuyant ainsi une perte de 2,86%.
Actualités
ASSURANCES MAGHREBIA VIE – En application de l’article 84 du Règlement Général de la Bourse, l’intermédiaire en bourse UNION FINANCIERE a conclu avec la Bourse un contrat d’apport de liquidité afin d’assurer la liquidité et la régularité de cotation du titre de la société.
Il est rappelé que les principaux actionnaires de la société ont mis en œuvre, à partir de la date l’introduction en bourse des actions de la société, un contrat de liquidité composé de 625 000 titres ASSURANCES MAGHREBIA VIE et de 4 500 000 dinars.
La date effective d’entrée en vigueur du contrat d’apport de liquidité est fixée pour le 13 janvier 2023.
Le pourcentage des subventions annuelles allouées par le budget de l’Etat au profit des établissements publics et des établissements publics non administratifs a atteint 29% du budget des dépenses et 9,3% du PIB, tandis que les établissements publics opérants dans les secteurs économiques ont bénéficié de 70,7% des subventions.
Ces données sont rendues publiques hier dia manche 8 janvier 2023 par un rapport publié par le ministère des Finances sur son site internet relatif aux transferts et garanties au profit des établissements publics et des établissements publics non administratifs pour l’année 2022.
Le total des subventions s’est élevé à 12,4 milliards de dinars, selon la loi de finances pour l’année 2022, contre 10,7 milliards de dinars durant l’année 2021, notant que les différents secteurs économiques ont reçu 7,8 milliards de dinars et le secteur social 2,4 milliards de dinars.
Le ministère a indiqué que de nombreux transferts tels que les subventions aux produits alimentaires et les subventions aux transports publics étaient classés comme des transferts au profit des secteurs économiques.
Les secteurs de l’éducation et de la culture, selon les données du ministère des Finances, ont reçu 0,352 milliard de dinars de subventions, tandis que les ministères et structures de souveraineté ont bénéficié de 0,669 milliard de dinars.
Les interventions du ministère ont atteint environ 10,1 milliards de dinars, tandis que la masse salariale a bénéficié de 1,2 milliard de dinars, les investissements s’élevaient à 0,418 milliard de dinars, et les dépenses de gestion s’élevait à 0,236 milliard de dinars.
Rappelons que selon des données révélées par le ministère des finances pour un échantillon d’entreprises publiques (EP), les transferts de l’Etat leur permettant la pérennité d’exploitation se sont élevés à 6198 millions de dinars (MD) en 2019.
Les données ministérielles montrent également que les transferts aux EP représentent 19% des dépenses de l’Etat, hors du service de la dette.
75% du fardeau des subventions de l’Etat profite à trois EP à savoir l’Office des Céréales avec une prime pour l’achat de céréales locales et importées de 1800,2 MD, la STIR avec une subvention de 1296 MD et la STEG avec une prime d’exploitation de 1242 MD.
On note que d’une manière générale, l’accumulation des pertes par plusieurs entreprises publiques et la perturbation des activités des entreprises dans le secteur minier ont empêché l’amélioration de la rentabilité des revenus des participations.
Pas plus tard qu’en novembre dernier le chef de la diplomatie tunisienne, Othman Jerandi, avait plaidé sa cause auprès de son homologue française, Catherine Colonna. La Tunisie, qui a fait sa part dans le cahier de charges dressé par Paris pour trois pays du Maghreb (ajoutez l’Algérie et le Maroc), attendait que la France fasse sauter complètement le verrou autour des visas. L’ambassadeur français à Tunis, André Parant, a donné dernièrement des gages très solides…
Il a confié à la presse que la dynamique était plombée par un sous-effectif dans ses services. Les recrutements ont été faits et donc le traitement des dossiers retrouvera sa fluidité habituelle. Il le faudra pour répondre au gros appétit des citoyens tunisiens pour la France, avec 800 à 1200 demandes par jour.
Mais André Parant a indiqué que les choses vont déjà nettement mieux, avec 75% des dossiers acceptés. Il insiste sur le fait que les dossiers doivent être complets, avec tous les documents requis, même pour les universitaires et les médecins. Il a ajouté que c’est la garantie que les demandes seront étudiées, avec de bonnes chances d’être reçues favorablement.
Rappelons que l’exécutif français avait rogné drastiquement en septembre 2021 les visas accordés aux pays maghrébins : -50% pour l’Algérie et le Maroc, la Tunisie s’en était mieux tirée avec -30%. La raison de la colère de Paris : Ses partenaires de l’Afrique du Nord traînaient des pieds pour lutter efficacement contre la migration clandestine et pour reprendre leurs ressortissants expulsés par la France. Les choses sont rentrées dans l’ordre depuis, aussi bien pour le Maroc que pour l’Algérie les relations diplomatiques avec la France ont retrouvé leur niveau normal.
La Tunisie, qui en a toujours fait plus que ses voisins maghrébins pour rentrer dans les clous et desserrer l’étau pour les voyageurs français suite à la pandémie du Covid, estime que les choses ne vont pas assez vite et qu’il faille soulager davantage ses ressortissants qui désirent se rendre en France. Cette dernière manifestement a entendu les doléances de Tunis…
Aujourd’hui, lundi 9 janvier 2023, le ministère des Finances a publié un rapport sur le cadre budgétaire à moyen terme pour la période 2023-2025, dans lequel il indique que les programmes de réforme du gouvernement visent au niveau de la politique des finances publiques à améliorer le contrôle de dépenses tout en préservant le rôle social de l’État dans le soutien aux plus vulnérables et aux familles à faibles revenus.
Ces efforts permettront, selon le ministère, le développement de la performance et de l’efficacité du secteur public et la création des infrastructures nécessaires pour stimuler l’investissement privé. On estime que les dépenses budgétaires totales connaîtront une croissance de 5 % au cours de la période 2023-2025.
Les subventions doivent diminuer à 1,7% du PIB
Le rapport a révélé l’évolution attendue des dépenses de subventions, expliquant que les prix des denrées alimentaires et du carburant ont connu une hausse record sur les marchés mondiaux, doublant les pressions sur les dépenses de subventions, qui devraient atteindre en 2023 un niveau de 8,3 % du PIB et 23,6 % du budget, ce qui a accru les risques liés à la viabilité des finances publiques et limité la capacité de l’État à allouer des fonds ciblés pour soutenir les plus vulnérables et l’investissement public et ainsi stimuler une croissance qui créerait de la richesse et des opportunités d’emploi.
Dans le même contexte, il a été souligné que des études devraient être préparées pour diagnostiquer les faiblesses du système de compensation actuel, notamment en ce qui concerne la contrebande et le gaspillage des produits subventionnés, et l’incapacité à orienter les subventions vers les bénéficiaires réels.
Les estimations des dépenses de compensation pour la période 2023-2025, selon le rapport, dépendent de l’ampleur des progrès réalisés dans la mise en œuvre du programme de réforme et l’approbation du nouveau système d’aide. Ainsi, il est prévu que les subventions doivent diminuer à 5,7% à la fin de 2025, ce qui équivaut à 1,7% du PIB, contre 16,4% et 5,4%, respectivement, estimés pour l’année 2023. En revanche, les transferts financiers directs augmenteront pour atteindre 1,8 % du PIB d’ici 2025.
20 dinars d’aide supplémentaires aux familles nécessiteuses
D’autre part, les dépenses consacrées aux interventions autres que les subventions devraient atteindre environ 4,6 % du PIB et 13,2 % des dépenses budgétaires totales en 2023, ces pourcentages passant à 6,3 % et 21,4 %, respectivement, d’ici 2025.
Ces estimations tiennent compte d’un certain nombre de mesures, dont la plus importante consiste à étendre la couverture de la base de données du programme de sécurité sociale pour inclure environ 310 000 familles d’ici la fin de 2023, et le nombre de familles éligibles sera élargi par une augmentation d’environ 10 000 par an jusqu’en 2026.
Il est également prévu de programmer des transferts mensuels au profit des familles nécessiteuses atteindra 220 dinars au lieu de 200 dinars, à compter de 2023, pour un coût total estimé à 77 millions de dinars, avec une augmentation de de 20 dinars par an, parallèlement à l’attribution d’aides mensuelles pour les enfants dont l’âge ne dépasse pas 5 ans dans la limite de 30 dinars par enfant et de 20 dinars supplémentaires pour les enfants handicapés.
Les équipes médicales et paramédicales tunisiennes des établissements hospitaliers publics poursuivent leur série de succès dans le domaine de la transplantation d’organes, où de nouvelles réalisations ont été enregistrées au cours des derniers mois.
Le ministère de la santé a indiqué dans un communiqué qu’une greffe du cœur avait été réalisée avec succès au CHU de Rabta à Tunis, où, le samedi 07 janvier 2023, les équipes médicales et paramédicales de l’hôpital ont procédé à une greffe du cœur, la 21ème du genre, sous la tutelle du Centre national pour la Promotion de la Transplantation d’Organes et ce au Service de Chirurgie sous la tutelle du Chef de Service le Professeur Raouf Denguir, le Professeur Mohamed Sami Mourali Chef du Service de l’Exploration Fonctionnelle et de Réanimation Cardiaque et le Professeur Adel Amous Chef du Service de réanimation et d’anesthésie.
Le ministère des Finances vient de publier aujourd’hui, lundi 9 janvier 2023 un rapport sur les entreprises publiques, qui expose un diagnostic de la situation économique et financière de 81 entreprises publiques sur un total de 111 ayant connu des résultats nets consolidés négatifs estimées à – 2455,26 millions de dinars en 2020 contre – 177,93 millions de dinars en 2019 soit une aggravation de 2277,33 millions de dinars correspondant à 1280%.
Cette forte baisse du résultat net consolidé pour l’année 2020 est due à l’enregistrement de résultats d’exploitation négatifs d’environ – 1160,7 millions de dinars en 2020, contre 662,75 millions de dinars en 2019.
Situation désastreuse
D’autre part, le rapport du ministère des finances a indiqué une baisse de la liquidité des entreprises publiques en 2020 par rapport à 2019, d’une valeur de 325,71 millions de dinars, ce qui équivaut à 9,1%, en raison de la baisse importante de la liquidité de la plupart des entreprises publiques du fait de la régression de leur activité. L’encours mensuel des dépôts bancaires a diminué de 395 millions de dinars au cours de la période 2019-2021 contre l’augmentation du découvert bancaire de 498 millions de dinars.
Dans son rapport, le ministère des Finances a reconnu que la détérioration de la situation financière de nombreuses entreprises publiques et l’absence de liquidités suffisantes ont entraîné leur incapacité à remplir leurs obligations envers l’État en matière de paiement des dettes fiscales et douanières et des prêts qui leur ont été accordés par l’Etat.
La détérioration de la situation financière d’un grand nombre d’entreprises publiques entraîne également une augmentation des transferts de subvention directes de l’État à celles-ci, d’autant plus que certaines entreprises publiques rencontrent des difficultés à remplir leurs obligations, ce qui nécessite dans la plupart des cas l’intervention de l’État à travers la recapitalisation de ces entreprises.
6 entreprises accaparent 71% des pertes
Le rapport ministériel indique que 53 des 81 entreprises publiques ont enregistré un résultat net négatif avec un total de 2643,27 millions de dinars.
La Société tunisienne des activités pétrolières est au premier rang des entreprises perdantes avec un résultat négatif de 407,07 millions de dinars, suivie de l’Office des céréales avec 340,59 millions de dinars, la Compagnie des Phosphates de Gafsa avec 293,25 millions de dinars, l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports avec 245,89 millions de dinars, la Tunisair avec 233,97 millions de dinars et la Transtu avec 219,2 millions de dinars.
Il est à noter que le président de la République avait exprimé, à plusieurs reprises, son refus de privatiser les entreprises publiques, comme il l’a souligné lors de sa rencontre, mercredi 16 novembre 2022, avec le ministre des affaires sociales, Malik Zahi, qu’ “il était contre l’abandon du rôle social de l’État car le droit à une vie décente, à l’éducation, à la santé et autres droits ne sont pas soumis aux critères des profits et des pertes, …. », soulignant à propos des entreprises publiques « la solution est plutôt de les réformer et de poursuivre tous ceux qui travaillent à ce que ces entreprises fassent faillite…”.
Tunindex a entamé l’année aujourd’hui lundi 9 janvier 2023 en progressant légèrement de 0,01% à 8106.59 points tandis que Tunindex 20 a baissé de 0,02% pour se situer à 3600.38 points.
Le flux des échanges est de 3,1 millions de dinars (MD) hors transactions en bloc qui ont porté sur 100 000 actions UBCI à un cours de 22 dinars (D), soit un montant global de 2,2 millions de dinars (MD). Avec 56 valeurs actives, la Bourse de Tunis a été marquée en outre par un léger déséquilibre des échanges avec 22 actions en baisse contre 13 titres en hausse et 21 valeurs inchangées.
Comportement des valeurs
Côté échanges, BIAT a été le titre le plus transigé de la séance, avec un courant d’affaires de 671 mille dinars ce qui représente 23% du volume global des échanges talonné par la SFBT pour 307 mille dinars. Le titre DELICE HLDG a drainé, par ailleurs, un volume d’affaires de 262 mille dinars tout en se dépréciant de 2,99% à 12,00 D alors qu’ATB a mobilisé 250 mille dinars en baissant de 0,37% à 2,71 D.
Concernant les variations à la hausse, SERVICOM a évolué de 4,17% à 0,25 D suivie par la valeur STB qui a avancé de 3,94% à 3,69 D et LSTR qui a progressé de 3,13% à 0,33 D sans drainer de volume d’échanges. Le titre BIAT a augmenté de 2,68% à 92,00 D.
A l’opposé, le titre BHL s’est déprécié de 4,35% à 1,98 D. L’action SOKNA a lâché aussi du lest pour 4,35% à 1,98 D alors que SCB a baissé à 1,45 D essuyant ainsi une perte de 3,97%.
Actualités
SAH – En application de l’article 84 du Règlement Général de la Bourse, l’intermédiaire en bourse MAC SA a conclu avec la Bourse un contrat d’apport de liquidité afin d’assurer la liquidité et la régularité de cotation du titre SAH.
Les principaux actionnaires de la Société d’Articles Hygiéniques – SAH ont mis en œuvre, à partir du 27 décembre 2022, un contrat de liquidité composé de 90 000 titres SAH et de 800 000 dinars. Aux termes de ce contrat d’apport de liquidité, MAC SA s’engage à respecter les engagements suivants : Une présence à l’achat et à la vente pendant au moins les 15 dernières minutes de la phase d’accumulation d’ordres qui précède l’ouverture ; Chaque ordre doit porter sur un montant minimal de 1000 dinars avec un montant minimum cumulé de 5000 dinars par séance de bourse et les ordres d’achat et de vente doivent se situer à l’intérieur de la fourchette autorisée par la Bourse (seuils statiques) et dont le spread maximum est de 3%.
La date effective d’entrée en vigueur du contrat d’apport de liquidité est fixée pour le 10 janvier 2023